Manifeste pour la Noosphère :

  

 (posté le 5 mars 2015, en jour Singe bleu planétaire, kin 231

27ème jour de la lune galactique de l'intégrité)

 

 (Définition de "Noosphère" en bas de page)

 

 

 

 

Merci de lire cela, chers colocataires de cette magnifique planète !

Chers amis et amies,

 

 

Prenez le temps de lire cette lettre jusqu'au bout : peut-être vous sentirez-vous concernés et aurez envie de coopérer à ce qui vient, à votre manière.

 

Je laisse maintenant la parole à Céline, Karine et Hélène.

 

" Les soins d'Elodie,

Douceur, justesse, écoute, canalisation, confiance, amour, guérison

Pour avoir fait appel à ses soins plusieurs fois je peux témoigner de leurs caractères précieux et riches en enseignements qui guident mon chemin de vie. 

Je me rappellerai toujours quand, au téléphone, elle entreprit un soin de ma vésicule biliaire. Après m'avoir écoutée parler sur mes souffrances et mes questionnements quant à une ablation possible, elle me dit "alors on va s'occuper de cette vésicule" ... à ce moment précis, c'est comme si deux mains de douceur venaient l'envelopper d'un petit nid tout douillet. Puis le soin fut très intense. Ensuite, repos et méditations. Deux jours plus tard, je n'avais plus de calculs biliaires, je me sentais légère et lumineuse !

Elodie, te dirai je un jour assez MERCI !!! "

Céline

 

" Plus qu'un soin, c'est une coopération d’Âmes, et aussi un voyage vers Soi, une traversée au Cœur de notre Etre que propose Elodie dans son accompagnement thérapeutique.

A chaque soin son intention nouvelle. Pourtant, un même rituel d'Amour invisible opère en silence, entre les mots, malgré les peurs, les réticences et les résistances.

Parce qu'Elodie prend le temps d'écouter, de sentir, de palper. Notre corps et tous nos corps subtils. Avec l'attention du Cœur.

Elle accompagne l’Âme dans tous les recoins de l'espace, des plus ténébreux aux plus lumineux, lentement mais surement, et surtout, sans jugement.

Elle aide à naviguer entre les eaux émotionnelles envahissantes, permet de saisir le fil conducteur du jour et de démêler les écheveaux des nœuds et blocages, et, enfin, de tisser une nouvelle trame sur laquelle s'appuyer avec sécurité.

La puissance des interventions énergétiques d'Elodie n'a d'égal que la douceur de sa présence.

Au final, le baume opère avec force et délicatesse et dépose dans toutes les cellules la marque du " tout est possible ".

Je retourne régulièrement vers Elodie parce que chacun de ses soins m'offre l'occasion de m'installer davantage encore à l'intérieur de moi-même avec légèreté et allégresse.

Si vous souhaitez apprendre à vous Aimer, un peu, beaucoup, passionnément ... n'hésitez pas à faire appel à Elodie. Les portes du bonheur, celui qui sied à votre être et vibre au diapason de votre mission sur cette Terre, s'ouvriront naturellement ...

Alors Amis de la Conscience, profitez bien de la guidance merveilleuse d'Elodie ! ENJOY IT parce que vous le valez bien :-) ! "

Karine

 

" Tu as des vraies qualités d'écoute et de non jugement. C'est ce qui fait comment tu accueilles.

Toi, ta maison, ta voix, tu es ce lieu où je me pose. Et c'est essentiel.

Tu es inspirante pour moi parce que tu m'aides à trouver ma propre inspiration.

Et ce que tu m'as appris, c'est à goûter : goûter ces moments à côté desquels il ne faut pas passer, prendre le temps de respirer. "

Hélène 

 

 

Il y a tout juste un an, une jeune journaliste de France Inter est venue à la maison enregistrer un soin pour son documentaire radio sur "les guérisseurs". Mon amie Martine, avec sa thyroïde qui flanche et son début d'arthrose à la hanche, s'était prêtée au jeu. Au final, nous n'apparaissons pas au montage, malgré la qualité et l'intensité du soin. En écoutant l'émission, je me suis rendue compte que je ne cadrais pas exactement avec le propos du documentaire, qui dit finalement ce que beaucoup de monde sait déjà : il y a de-ci de-là des personnes, magnétiseurs, rebouteux et autres coupeurs de feu, qui ont hérité par on ne sait quel mystère, de la capacité de faire des choses que la médecine conventionnelle ne sait pas faire et n'explique pas.

Or je voulais raconter bien au-delà de ça, vous pensez bien !

 

J'avais eu 3 semaines pour me préparer entre le moment où cela s'était décidé et celui de l'arrivée de la jeune journaliste et du preneur de son.  

France Inter ? Alors que personne ne me connait ? Ça alors !!??

Qu'est-ce que je veux dire, partager, puisqu’on me tend le micro ?

Et je fais, comme on rembobine un film, le bilan de tout mon parcours.

 

Mon premier boulot, il y a 25 ans : conseillère/animatrice (conseil conjugal et familial) dans une association du Mouvement d'Education Populaire, qui m'enseigne essentiellement ceci : nous sommes tous les héros et héroïnes d'histoires de vie incroyables qui valent TOUTES d'être écoutées.

Puis je rejoins les rangs de l'Education Nationale (Conseillère principale d'éducation) à une époque qui promet sur le papier d'être fabuleuse : ça s'appelle "la loi d'orientation de 1989", qui se propose, en affirmant " l'élève est au centre du système éducatif ", de redéfinir, repenser, réaménager tout le système éducatif à partir de l'Approche Centrée sur la Personne. Cette Loi dessine sur l'horizon de notre société une possible révolution tout en douceur et qui nous engage tous. Au final, le fabuleux projet auquel je souhaitais tant participer se transforme en gestion quotidienne du chaos ordinaire en milieu hautement souffrant (les établissements scolaires) sans direction ni perspective, sans autre projet que celui de limiter la casse (et encore....). 

Je me sens enfermée dans un vaste machin désespérant. Je pars donc. Mais je n'ai pas dit mon dernier mot ! (vous verrez en quoi plus bas)

Sauf que je n'avais pas mesuré à quel point mon engagement quotidien auprès des adolescents était ce qui faisait principalement circuler l'amour en moi. S'ensuit une période plutôt éprouvante, comme en errance, faite d'erreurs et de tâtonnements, mais qui au final contribue elle aussi à m'enrichir et à me former. Années de formation un peu rudes, mais nécessaires : j’apprends à recevoir et je laisse tomber tous les jugements d’égo.

Peu à peu je me relève, aidée par tous les beaux amis et par un rêve qui m'habite (ce dont je vous parle plus bas).

Avant cela, pendant mes années "Education Nationale", j'avais découvert le pouvoir guérisseur des mains, et m'étais lancée avec passion dans l'exploration du monde de l’énergie, humain et universel (ça je le raconte sur mon site).

 

 

 

 

 

 

Voilà pour le bilan rapide : à l'arrivée de la journaliste, je suis travailleuse indépendante (ça c'est incontournable : je veux pouvoir choisir les collègues avec qui œuvrer), je fais des soins et transmets le Reïki.

Ce qui m'habite, ce qui est le fruit de toutes les expériences traversées et que j'ai à cœur de partager -ce que j'ai cru l'espace de trois semaines qu'on l'entendrait sur les grandes ondes (à suivre... ;-) ? - je l'exprime avec vous aujourd'hui ainsi :  

 

Ce que nous avons lu dans les témoignages plus haut, nous avons TOUS la capacité de le faire, en potentiel.  C'est très simple. Il n'y a rien de tellement mystérieux dans tout cela.  Bien sûr tout le monde n'est pas destiné à devenir un Mozart dans ce domaine, mais nous pouvons tous apprendre à jouer d'un instrument de musique. Il s'agit juste d'aller à la rencontre de ces parts de nous, essentielles, oubliées ou laissées en friche.

Il y a eu un véritable génocide culturel dans notre civilisation, depuis l'époque de l'inquisition, et il y a une mémoire à retrouver d'avant ce génocide, qui est un trésor et le patrimoine de l'humanité. Il est urgent de retrouver ce trésor qui nous rappelle que nous sommes partie intégrante de la nature et que nous pouvons fonctionner harmonieusement, ensemble et avec elle.

Il y a une science derrière tout cela, qui est la science de la relation et de la perception.  La physique newtonienne (encore dominante dans notre culture) ne peut bien évidemment pas en rendre compte, mais  les traditions de sagesse du monde entier l’explorent depuis toujours et la lecture des témoignages plus haut peut en faire pressentir l'existence.

 

Beaucoup d'entre nous en sommes conscients  mais les médias conventionnels ne reflètent pas encore, ou trop peu, ou de manière déformée, cette aspiration générale et qui se fait de plus en forte.

Et puis je rencontre aussi tellement de personnes qui se perdent, qui perdent de vue leur centre, dans la marée des infos des médias non conventionnels...

 

 

 

 

 

 

Cela étant dit, voilà où je veux en venir aujourd'hui :

Depuis maintenant plus de 10 ans, mature à l'intérieur de moi un projet de film. Aujourd'hui il est mûr : le film est écrit, le projet est très clair.

 

Une grande partie du film se passe dans un collège. Ça pourrait être un peu comme du Harry Potter à l’école de Poudlard, mais là, ce qui fait fonction de baguette magique, c’est notre propre magie interne, faite de ce que Thich Nath Hanh nomme : écoute profonde, vision profonde.

Quelque chose de « Star Wars » aussi, avec son « maître Yoda », ses princesses Leia (assistantes d’éducation, profs ou élèves), et ses Luke Skywalker. Les sabres laser s’appellent ici courage, authenticité, imagination, humour, capacité de se remettre en question ou de s’affirmer, cœur vaillant, foi en l’humain, capacité de créer des espaces de rencontre véritable... L’empereur, on ne le voit pas, mais il est partout : constamment relayé par la multitude des petits Dark Vador malgré eux, quand s’agitent stress et angoisses.

Il y a un peu de Matrix aussi, avec son générique de fin en forme de « wake up !! ».

Si je me réfère à des films tels que « Star wars », « Matrix » ou « Harry Potter », alors que celui-ci sera très différent dans la forme, c’est parce que nous avons urgemment besoin de retrouver le goût des grands mythes fondateurs de l’humanité -ce que font ces films- où l’action du héros dépasse sa propre personne et permet de renouer avec les fondements de l’être et l’ordre structurel du monde.  

 

Ce film montre clairement que ce « héros », capable de tels prodiges -restaurer paix et justice en ce monde- c’est potentiellement nous tous. Il dessine une perspective, à l’échelle de la civilisation, et un trajet. Il offre l’opportunité de se poser les bonnes questions. Et il signe d’un « tout est possible ».

 

Il y a aussi un peu de « la belle verte » de Coline Serreau.

Un peu des films de Frank Capra, « Life is beautiful » et « Mr Smith au Sénat » -deux films qui m’avaient instantanément remise debout quand je commençais, avant mon 1er voyage  au Mexique, à désespérer du devenir  de l’humanité. Ce que j’ai rencontré alors au Mexique et qui me tient debout, cœur vaillant et l’espoir chevillé au corps, tisse l’arrière fond du film.

Un peu de tous ces films. Dans un mode très féminin. Qui prend le temps de goûter, de palper, de sentir. Qui épouse les rythmes subtils de la rencontre véritable.

L’intention est que la description que fait Karine de ce qu’elle vit à travers mes soins, puisse épouser ce que vit le spectateur  quand il regarde ce film.

Je veux offrir ce que l’on s’offre en soin ou en stage, version grande cérémonie collective. Et le cinéma est le plus magique, le plus puissant des médias pour cela.

 

 

 

 

 

 

J’en ai rêvé de ce film. Je l’ai longtemps mijoté. Il est prêt. Nous en avons besoin.

           

L'heure est venue de mettre en route sa concrétisation.

 

C’est là où nous pouvons coopérer ensemble.

 

Quand ce film est arrivé dans ma vie il y a 13 ans,  passé le 1er  « woaoh... !! » (je l’ai vu, je vous assure, il déchire !) je me suis dit  : « il faut que je devienne celle qui est capable de le faire ». Ça a été un long cheminement, mais c’est fait : je peux offrir aujourd’hui cette qualité d’accompagnement et observer ce qui s’y passe, ce qui s’y joue, ce qui est à l’œuvre.  Et transposer tout ça dans une histoire, sur un écran de cinéma.

Mais pas toute seule.

Je dois rencontrer maintenant les merveilleux artistes, quels qu’ils soient à tous les niveaux de fabrication de cet objet, les « guerriers pacifiques » capables de saisir la beauté du projet et de mettre leurs talents à son service, de donner le meilleur d’eux-mêmes pour réaliser ce film qui puisse avoir un impact positif sur le monde.

J’en ai rencontré quelques-uns, au fil des années, au gré des rencontres (certains ne sont pas à la porte d'à côté..). Je dois maintenant les rencontrer tous.

 

C’est là où vous pouvez m’aider : 

Je dois me rendre maintenant totalement mobile, mais cela nécessite un budget que je n’ai pas. Pour trouver ce budget de mise en route (comment la réalisation elle-même sera financée, je verrai plus tard) j’ai besoin de faire davantage de soins, de stages.

 

Or personne ne me connait, si peu de personnes connaissent la teneur des coups de mains que je peux donner. Et pourtant j’adore coopérer de cette manière ! J’ai peaufiné mon art pendant des années ; il représente le meilleur de moi que je peux offrir.

Mon tempérament solitaire, parce qu'hyper sensible, à l’aise seulement dans les rencontres profondes et me faisant fuir depuis longtemps les rassemblements quels qu’ils soient (fêtes d’anniversaire, crémaillères, manifestations ou festivals) a eu sa fonction : il m’a permis d’aller à ma manière suffisamment loin dans l’exploration interne de tout ce que le film implique, cette science de la relation et de la perception, pour pouvoir passer aujourd’hui à l’action, au service du collectif, en la mettant en images. Mais ce même tempérament n’a pas aidé à me faire connaître, avec pignon sur rue (l’aventure France Inter représentait vraiment un miracle de synchronicité !).

Il y a mille manières de coopérer, qui se dessineront au fur et à mesure que le projet avance. Aujourd’hui, il y en a une simple et immédiate :

Si vous sentez l’appel, si vous vous sentez concerné-e de quelque manière que ce soit, s’il vous plait, faites circuler l’info, parlez de moi, faites-moi connaître, … ou venez me voir. Ça peut être une magnifique coopération qui peut faire du bien à tout le monde.  L’esprit « gagnant-gagnant » : co-producteur d’un film en venant se faire initier au reiki par exemple ; ça c’est de l’innovation !

L’accompagnement, je peux le faire de la même manière par téléphone (celles et ceux qui sont initiées au niveau 2 de Reiki le savent bien et le témoignage de Céline le montre) et je peux me déplacer : si vous êtes 4 à vouloir vous faire initier au Reiki à l’autre bout de la France (ou la Belgique, la Suisse, l’Espagne…) ou si vous voulez découvrir, explorer, approfondir le calendrier des 13 lunes (qui nous parle aussi de nos archétypes en tant que héros et héroïnes dans la vaste aventure collective),  je viens -je ne pense ou n’écris jamais aussi bien qu’en mouvement !

 

 

Et pour finir cette longue lettre, 2 poèmes :

 

15 ans d’écart entre les 2 ( le 1er a jailli alors que j'étais Conseillère dans un lycée du Nord-Pas de Calais).

Le film, ainsi que le recueil de poèmes (encadré par ces 2-là), illustrent le trajet pour aller de l'un à l'autre : un trajet de guérison, le trajet du "tout est possible". 

 

Ce monde est étrange 

Je ne peux y vivre

Je vous jure que j'ai essayé

Je me suis anesthésiée

J'ai caché mes ailes

repliées, sanglées, oubliées

J'ai bandé mes pieds,

rogné mes rêves

retenu ma respiration

et je marche à petits pas sous le voile.

Mais le vent parfois soulève ma robe

caresse mes chevilles

et un sanglot s'étouffe dans ma gorge.

 

"Qu'est-ce que tu veux ?

- Je veux sentir mon cœur battre

- Alors ferme les yeux, sens le vent dans tes cheveux

  et saute".

 

Et le 2ème

 

Souviens-toi ces moments d'enfance

Ton souffle se suspendait parfois devant la promesse de l'extase.

 

Petite fille

N'attends pas que des marraines viennent se pencher sur ton berceau

Pour te dire que tu es autorisée à vivre.

Tu es ta propre marraine.

Vis

Sois heureuse

Sois libre 

 

En filigrane entre les 2, comme une trame de fond sur laquelle s’appuyer, il y a ce que je peux résumer par cet extrait d’un autre poème :

 

Les anciens portaient  le projet du monde

Et l’ont gravé dans la pierre

Pour que nous nous souvenions

Pour que le projet du monde

Ne disparaisse pas sous les couches de béton.

 

 

 

A 14 ans, j’ai lu " Les raisins de la colère " de John Steinbeck et j’ai scellé alors cet engagement : je veux participer à restaurer justice, égalité et fraternité dans ce monde que la folie gouverne.

Je veux tenir cet engagement.

Don Miguel Ruiz, au dernier chapitre de son livre, Le cinquième accord toltèque, dit : « aidez-moi à changer le monde ».

A mon tour je prononce ces mots ;

Aidez-moi à changer le monde.

 

Je marche pour tous, parce que je suis calibrée pour rêver grand.

 

Je vous embrasse comme je vous aime.

La lucha sigue, hasta la victoria, siempre !

 

Elodie, Singe bleu lunaire, kin 171 

 

 

 

 

 

 * Noosphère : mot créé par le géochimiste russe Vladimir Vernadski, développé par le paléontologue, géologue, philosophe et théologien Pierre Teilhard de Chardin, et repris par le chercheur, artiste et visionnaire José Argüelles.  A la fois principe et projet, ce mot désigne la "sphère de la pensée humaine".

 

"Dans la théorie originelle de Vernadsky, la noosphère est la troisième d'une succession de phases de développement de la Terre, après la géosphère (matière inanimée) et la biosphère (la vie biologique). Tout comme l'émergence de la vie a fondamentalement transformé la géosphère, l'émergence de la cognition humaine transforme fondamentalement la biosphère.

Teilhard de Chardin a développé sa vision d’une humanité en voie de « planétisation ». C'est la vision d'une humanité dont l’imaginaire, les pensées, les idées, les découvertes, en d'autres termes le psychisme ou la conscience tissent progressivement une « noosphère » de plus en plus serrée et dense, génératrice de toujours plus de conscience, et d’une conscience de plus en plus solidaire, de plus en plus planétaire.  

Il s'agit d'une sorte de « conscience collective de l'humanité » qui regroupe toutes les activités cérébrales.

La noosphère est née grâce à la montée de conscience des individus au fur et à mesure de leur maturation, depuis l'apparition du vivant jusqu'à nos jours.

Sa manifestation la plus probante est la naissance d'organisations « humanisantes » telles que les lois, les notions d'éthique, la politique, la culture, les organisations humanitaires, et aussi la multiplication dans l'histoire, d'inventions faites aux mêmes moments mais à différents endroits. (wikipedia)